Une derniere

Le 25 Mars 1470 à 01h14

Bonsoir,

Bien contente de vous avoir croisé , vous avez réussi à me faire apprécier de nouveaux les humbles bretons et je vous prie de croire que c'était loin d’être gagné.... mais à présent, changement de programme, les hauts pontes ayant toujours autant peur des étrangers, nous foutent dehors. Nous avons 48 heures pour déguerpir *se bidonne* . Vous m'aviez fait une proposition et je vous en remercie mais je n'ai plus envie de ressentir leurs trouille, leur guéguerre de pouvoir et encore moins d'entendre leurs crieurs harangué à la haine , je suis loin de toussa à présent, donc nous repartirons des demain soir. Merci pour tout et qui sait, à une prochaine sur les routes .


L'inconnue qui posa sa dague sur le cou de la donzelle du nœud.

Le 28 Mars 1470 à 15h08



Lô Bonjorn Dona "L'Iconnue à la dague..."

Tout d'abord je vous remercie d'avoir pris la peine de m'écrire, c'est un vrai plaisir de lire une personne que l'on a rencontrer qu'une fois dans sa vie et qui vous dit qu'elle vous a appréciée, pour le coup moi j'étais un peu dans l'euphorie quand vous etes arrivé et ne sachant pas trop sur quel pied danser avec toute c'est bonnes nouvelles, je crains malheureusement qu'elle ne furent de bien courte durer car je n'est pas revu ma femme à ce jour à croire que l'arrivé de notre fille à peser trop lourd dans d'éventuelles responsabilité que j'étais pourtant pret à assumer ce qui n'est vous l'avourez pas le fort de tout les hommes qui parfois préfère s'enfuir, ce n'est pas mon cas mais bon la vie va ainsi et avance alors regardons droit devant, j'ai fais un dernier courrier à ma femme ce jours, il sonnera le glas pour notre couple si je n'es point de réponse mais au moins je serais.

Alors si je vous ai fait rire vous m'en voyez ravi, au moins quelqu'un à plaisir de m'avoir en compagnie et si je vous ai réconcilié avec les Breton c'est peu etre parce que je ne le suis pas moi même, je peux pas etre aussi idiot que de faire partir d'aussi agréable personne que vous sous prétexte qu'il n'ont pas de laisser passer. Car entre nous soit dis, moi je vous aurais bien garder à ma cotés .... euh ...... oula je m'égare.^^

Bon je suis aussi assez loin de tout cela, meme si j'ai un honneur à défendre, leurs gueguerre comme vous dites sont en plus d'un ennui mortelle. En ce qui me concerne, je suis pour une bonne bourrade a coup de "bourre pif" dans une taverne avec des pochtrons au moins tout aussi saoul que moi et de finir la soirée avec les même au comptoir pour piccoler à nouveau... Mais bon chacun son tripe.

Visiblement vous n'etes pas celle qui vous laisse facilement faire et j'ai d'ailleurs adoré la scene avec la dague quand l'autre donzelle c'est pointer sur vos genoux * se marre*

Aah et si vous voulez qu'on se recroise, il faudrait peu etre me dire ou vous aller, qui sait peu etre que cette fois c'est moi qui vous trouverai chez vous .... ou ailleurs nan ? ^^

Latcho Drome, Brunette

Le Loup.

Le 28 Mars 1470,


      En pleine cambrousse, à la limite des terres bretonnes, un volatile vint perturbé ma sieste improvisée adossée à un chêne aussi rugueux que les hauts pontes en costume trois pièces de ce pays. Un sourire mutin en coin s'afficha sur mes lèvres....Souvenirs... souvenirs.... Je venais de trouver sans peine mon diner.... Cette habitude de jadis, je l'aurais presque oublié, si peu de ces bestioles m'approchaient depuis ......????..... J’eus beau tenter de dater, impossible, tant cela remontait à si longtemps. Plus bancal que la normale - certainement malade le piaf, ou trop imbibé d’alcool...- il s'approcha de moi sans aucune peur...... Vrai, lui ne me connaissait pas du tout mais alors, s imposa à moi la question fatale : " saurai je encore faire pour le zigouiller avant qu'il ne déguerpisse ?"
J'en étais là de ma question quand, aussi bien dompté que des saltimbanques le feraient d'un singe, il me montra patte.... blanche et surtout bout de parchemin pliée en cinquante mille...... Je pris donc le pli, et le déplie (!!) encore et encore et encore... Mazette, si j'arrivais a déchiffrer ce bout de papelard , j'aurai bien du bol ! Mais j y parvins; Alléluia ! Recherche de ma plume et d'un vélin à peu prés convenable pour faire réponse, sur celui- ci , le destinataire pouvait y lire:

Bien le bonjour m 'sieur, ou l'bonsoir si la bestiole se goure en chemin;

           Vous dire que j'ai apprécié votre euphorie ? Ça , je pense que vous l'avez capté déjà.
Vous dire que je suis navrée que votre donzelle ai disparu depuis qu'elle a mis bas ? Est ce que cela vous aidera a supporter votre .... votre quoi d'ailleurs, car je n'ai pas vraiment lu de peine .

Plume en l'air je me bidonne à part moi avant de poursuivre :

Mais bon, il parait que cela se fait et se présente même comme de l'empathie... alors soit; je vais être empathe pour une fois et au final, je vous souhaite qu'elle retrouve le chemin de la taverne afin que vous deux arrosiez cette enfant nouvellement venue. Ainsi arrosée et pendant la St Patrick qui plus est, c'est certain, elle grandira bien plus vite.

J'avais oublié par contre que vous n'étiez pas de pure souche Bretonne ! C'est certainement pour cela que vous m'avez... marqué ?
Mouais, j’exagère peut être un peu..... beaucoup la. Ne bombez pas ce torse à ce point !!!

Vrai que sur ces terres et plus spécialement en cette ville, mes souvenirs y étaient plus que....... mauvais. Je suis en paix avec eux à présent, et même en paix avec la Bretagne au final et ceci, je le dois malgré tout à vous en partie.

J'ai croisé un Rebel plus aimable qu'une Ame... Déconcertant et inaccoutumé, n'est ce pas ?
Certes, Je n'ai pas le même passif avec vous deux, cependant, cette dernière m'a montré à quel point les Bretons pure souche, sont franchement égoïste et ne mérite pas mon amitié. Euh...., dites pas ça a Gwiz ni à Cassiopée !!!!!!  tout deux furent véritablement charmants à tenter de me retenir jusqu’à défendre ma cause devant ch'sais plus qui d'important ! Donc, racontez pas n'imp à eux !

A présent.....

Le jour où vos chausses vous démangeront, que votre tête hurlera l'aventure , vous pourrez vous diriger vers le Sud. Mais vraiment le Sud hein ?! Carrément tout en bas du Royaume, vers la mer et non l'océan, non loin des champs entier de lavande et de citronniers; puisque - si j'ai bien compris - vous préférez une destination plutôt que la providence pour une éventuelle nouvelle rencontre.
Pour l'instant, je vais sur Béziers, ensuite très certainement, je rentrerai sur mes terres provinciales . Pouvez interroger Gwiz ou je crèche; il me l'a demandé, ainsi, vous pourrez jauger sa mémoire !

Se marre d'avance, certaine qu'il ne s'en rappellera pas.

Voilà m'sieur , je renouvelle donc ainsi, les ...... p ' t 'etre à une prochaine mais j y ajouterai cette fois............ où pas !


Lalie.


Je fais relecture, je souris à part moi, siffle le volatile , vachement trop bien dressée la volaille en Bretagne, il se pointe derechef ! Je plie pas le parchemin mais lui fourre direct dans le bec et lui intimant de pas le lâcher ! Docile comme il est, sur qu'il à capté !! Foutu volatile pensais je en le regardant s’éloigner avant de retourner à ma sieste.