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 L'auberge des voyageurs

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MessageSujet: L'auberge des voyageurs   L'auberge des voyageurs Icon_minitimeVen 15 Avr 2011 - 13:15

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Alcibiade a écrit:

La musique bourdonnait encore dans ses oreilles qu'Alci avançait d'un sourire rayonnant de joie de se trouver dans ce village qui savait si bien s'amuser. Il en avait déduis, que beaucoup viendrai l'écouter, et s'en réjouissait d'avance, tant il adorait combler les siens d'histoires formidables. Son pipeau dans sa besace aux mille merveilles posée sur son épaule gauche; " sa Mie" à sa droite, le bras lui enserrant le sien, le duo se dirigeait, démarche boiteuse vers une auberge.
La taverne de la Choppe, devant laquelle ils étaient tout deux passés, leur était apparue de toute évidence mal famée, voire abandonnée au vu du des carreaux éparpillés au sol. C'est ainsi donc, qu'un conteur et une nounou se retrouvèrent devant l'Auberge des Voyageurs.

Les bougies éclairaient à peine l'auberge, formant ainsi de gigantesques ombres sur les murs gris et froids, quand Alcibiade entra, la démarche allègre, le regard rieur. Il prit une chaise qu'il plaça un peu en retrait de la cheminée, s'y s'assied de coté afin que l'on ne devine que son profil. Il plia les coudes sur ses genoux en respirant lentement, comme pour s'imprégner de l'atmosphère de ce village.

Bientôt il dissimula sa tête dans un voile de fumée qu'il provoquait en tirant sur sa pipe couleur de miel, ses cheveux grisonnants en bataille retombaient sur sa longue cape marron qui couvrait un corps gracile, et ses pieds tapaient le sol l'un après l'autre tel au son d'un tambourin imaginaire.
Son visage en triangle se terminait par une barbichette et son teint halé présumait du temps passé sur les chemins. Les profondes pâtes doigts remontaient aux temps rejoignant les vastes sillons que formaient son front. Deux rigoles descendaient de la base de son large nez et venaient tomber sur sa bouche quasiment édentée. Toujours souriant, il inspirait la confiance et et sa simplicité apaisait les âmes les plus méfiantes.
Il attendit patiemment, tout en silence, que quelques villageois prennent place autour des tables avant de reprendre ce rôle qu'il aimait temps; le rôle d'un conteur.

--La_Ptiote. a écrit:
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L’eau dans le chaudron chauffait, pendant ce temps, la P’tiote était allée à la réserve sortir un baquet, avait testé sa résistance, en le remplissant d’eau afin de voir si ce dernier fuyait ou pas. Rester là, regarder, et ne point voir de filet d’eau s’échapper, afficher un visage satisfait, renverser le baquet, et de ses petits muscles le hisser dans la chambre 2. Redescendre à la salle commune, vider lentement le chaudron dans des brocs, et monter à nouveau les escaliers, oh elle ne ménageait pas sa tache, mais, la peur qu’elle avait eu lui avait donné une force Herculéenne.

Une fois le dernier aller-retour fait, elle en avait plein les chausses tout de même la P’tiote, et se serait bien offert une sieste bien méritée. Mais, son odorat fut attiré alors qu’elle franchissait la dernière marche, tournant la tête, elle vit une fumée s’élever, une légère panique l’envahissant pensant de suite au feu, mais rapidement se rassura, non cette odeur n’était pas celle du brulé… Elle s’approcha lentement, sur ses gardes tout de même et devina plus qu’elle ne vit un drôle de bonhomme assis là.

Elle resta à instant coi, ne sachant trop que faire, qui était-ce ? Un client ? Voulait-il boire ou manger ? La P’tiote était fort ennuyé étant affairé quand l’homme était entré, aussi se raclant la gorge elle se mit à parler


B’jour, bienv’nu, j’peux vous servir quelques choses ?

Quand elle eu la sensation d’une autre présence


--La_Nounou a écrit:
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Nounou avait laissé entrer son Alci en premier, connaissant bien trop son impatience à faire ce dont il se délectait, susciter l' émerveillement chez les grands comme les petits.

Elle avait donc prit place tout au fond de la taverne, un endroit où elle préférait se rendre à chaque fois, car d'ici, elle était sure de ne pas le perturber , même si, sans le savoir, une fois qu'il était partie dans son univers, rien ne pouvait le préoccuper et encore moins, sa mie. Cependant, elle même savait que à peine un pied dans une taverne quelconque, il était déjà entrain de ruminer à son histoire à venir, et là, en le voyant sourire en prenant sa pipe, elle savait qu'il l'avait déjà en tête.

Affalée sur sa chaise plus qu'assise, puisque ces pauvres jambes avaient bien du mal à se détendre, elle vit alors une gamine venir justement embistrouiller son bonzhomme.. Voulait elle le distraire ?

Étonnamment rapide, voila nounou qui se retrouve au cotés d'une mioche, lui faisant : chuttt, de l'index, et signe de la suivre dans le fond de l'auberge, de la tête. Face à face, à présent, elle lui dit toute sourire :


Va t'en pas l'déranger, l'est entrain d'chercher belles histoires à raconter, c'est qu'c'etions un conteur, mon n'Alci . Fit elle en se redressant, fière comme si c'était elle même. Puis elle continua :

Par cont', moua, j'prendrions bin, un verre de què'que chose .. Quoique c'est vot' spécialité par cheu vous ? Ah et pis.. faudrions une chambrette zaussi, mais j'pouvions point t'dire pou' combien d'jour... ca dépendrions d'lui termina t'il en montrant Alci de la tête.

Elle le regarda, les yeux emplies de cette amour aveugle qui prouve à quel point elle tient à lui, avant que ceux çi ne se repose sur la gamine, et d'ajouter :


J'm' appelions Nounou au fait ! et toi la mioche, comment qu'c'est t'y ton tit nom ? M'enfin, t'es pas obligé d'dire nan plus hein ?! Par contre, là, j'm'en allons m'rassoir, mes pauv' jambes sont p'us quoiqu'elles étaient avant. Profiten z'y bien des tiennes; tiens. Profiten z'y bien !

De las, elle se revautra sur la chaise, sans quitter des yeux, une gamine.


--La_Ptiote. a écrit:
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Une toux, voila que la P’tiote se mit à tousser, et pas qu’un peu, ça lui grattait le fond de la gorge boudiuou à lui en faire pleurer les yeux. Elle n’entendit pas la réponse à sa question au M’sieur,
pff l’est pas poli pensa t’elle, l’aurai au moins pu dire b’jour, ça coûte rien hein !

Alors qu’elle allait approcher plus encore, au risque de s’étouffer, pour demander ce que voulait consommer le m’sieur, elle se retrouva nez à nez ou presque l’autre dame avait quelques têtes de plus qu’elle, mais qui s’était plié pour que la P’tiote voit bien l’index sur les lèvres, fallait faire silence. La P’tiote l’en revenait pas, on venait chez elle, enfin dans l’endroit ou elle travaillait, et on lui demandait le silence… c’est t’y pas malheureux !

La dame lui explique qui est là, La P’tiote essaye tant bien que mal de reluquer le m’sieur, mais que nenni le nuage de fumée est trop important, et la moindre tentative d’approche le solde par une nouvelle toux.

M’enfin c’était des clients, z’avait un nom à coucher dehors, mais bon, si ils payaient ils auraient une chambrée, l’auberge ne faisait point de différence.


La dame paraissait bien bavarde, ça allait lui changer à La P’tiote, mais comme toujours elle faisait avec, le client qui paye doit avoir ce qu’il veut qu’elle pensait, et puis l’aurait p’tre quelques écus aussi pour elle. Elle regarda la dame se vautrer, puis avant de répondre à toutes les questions, La P’tiote alla au comptoir, prit le registre et nota

n’Alci et Nounou, chambre 4

Puis décrocha la clé de la dite chambre, et la glissa dans sa poche. Elle sortit une bouteille de sous le comptoir, en versa un peu dans un godet, puis servit aussi une chope de bière. Retournant auprès de la dame verres en main, elle posa sur la table


J’m’appelle P’tiote, m’dame et j’suis là pour vous servir et vous loger

Fouillant dans sa poche, elle sortit alors la clé,

V’la pour vous et l’m’sieur là bas, la chambrée 4.

Puis regardant ce qu’elle avait posé sur la table


Le p’tit verre c’est la gnole du coin, z’appele ça Armagnac ça chauffe fort le gozier parait, et j’vous ai mis une chope pour calmer le feu que vous allez r’sentir



--La_nounou a écrit:
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Nounou regardait les allées et venues de la gamine, le sourire haut, le fessier à moitié sur sa chaise tant elle s'y vautrait. Son Alci, pour sur, avait trouvé son histoire, restait à voir si quelques villageois rentreraient dans l'auberge, mais sur ce point, elle demeurait très septique.

Enfin, la gamine, revint vers elle, lui donnant son nom qui n'en n'etait pas un, et la clé d'une chambre. Chambre numéro 4 lui dit elle avec un beau sourire, mais pour l'endroit où elle se situe exactement, nounou pensa qu'elle devrait chercher une éternité, aussitôt donc, elle songea à ses pauv' jambes, et donc quémanda :


Faudra m' montrer gamine, où qu 'c 'est qu' c' est qu 'la chambre , hein ?! j'voudrions point faire l 'tour d' l auberge toute entière moua..

Elle enchaina sur un engloutissement en bonne et dut forme de ce que la p'tiote lui nomma : Armagnac. Aussi, d'un lever de coude rapide elle s'enquilla le verre avant de le reposer dans un claquement sec sur la table en se penchant sur le bord de sa chaise, des larmes pleins les yeux.
Son souffle ? Elle n'en avait plus ! Du blanc cassé elle se métamorphose en rouge pivoine ! Tape désespérément son poing sur la poitrine, avant qu'un semblant de respiration ne lui revienne. C'est une voix complètement étriquée qui demande :

Dis, tu voulions donc ma mort où bien ?? C'est t'y pas z'humain, que d' boire ça ! J' pensions bien qu' tu voulions qu' j' mangions les pissenlits pa' les racines !
Non de diouce ! !


Termina t-elle, en respirant un peu plus clairement. La chope ne la tentait même pas tant elle eut l'impression que son gosier avait rétrécie de trois quart. Puis de respiration en respiration, son souffle lentement lui revient pour qu'alors elle repose ses yeux sur la p'tiote et finalement lui dise.

Assoie t-en don' voir, un peu qu'on cause toutes les deux.
D'ja, p'tiote, c'est pas un nom ça, si tu t'appelions plutôooot... Margu' rite, Tiens !
C'est t'y pas jolie qu'ça, Margu'rite ?? T'aimions t'y pas mieux que Ptiote ?
' Fin bon, tu faisions comme que tu veux hein ?!
Pa' contre, faudra m' dire où qu'c'est qu'elle est la chambré 4 hein ?!, Faudra pas m'laisser la côm ça moua hein ?! J'ai pas envie d'courir partout dans c' t' auberge... Mes pauv' jambes, elles voulions p'us d' t' façon...
J'en avions pou'tant sacrément couru après des marmots dans l' temps.. mais la...


Et voila Nounou repartit dans un laïus a n'en plus finir si personne ne vient l'interrompre.


--La_Ptiote. a écrit:
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Elle avait rit la P’tiote en voyant la dame passer par toutes les couleurs et finir rouge pivoine oh oui qu’elle avait rit, pour sur elle avait voulu gouter la spécialité locale, elle devait en être contente la dame…

Une fois remise, la P’tiote expliqua à la dame ou se trouvait la chambrée 4, vrai qu’elle l’avait oublié,


Alors m’dame faut prendre l’escalier là


Elle lui montra le seul escalier de la pièce, mais bon, si déjà fallait lui indiquer la chambrée valait mieux lui indiquer tout le parcourt

En haut z’allez à droite et vous avancez, la porte c’est euh... la une... deux… oui c’est ça, la deuxième à gauche ! Vous trouv’rez ?

Allant repartir à son travail, la dame commença à parler, parler, parler, v’la tit pas qu’elle voulait lui changer son nom, l’appeler comme une vache, la P’tiote se figea alors face à elle

J’suis pas une vache moua hien, et puis j’m’apelle la P’tiote, et d’jà c’est mon nom, qu’y plaise ou pas, m’a toujours app’lé comme ça !


Elle était toute colère la P’tiote l’appeler comme une vache non mais elle croyait quoi elle, haussement d’épaule, se calmer elle voulait pas perdre son emploi quand même et ajouter d'une voix tout de même assez sèche.

J’vous r’ssert une gniole locale ?

Ne pas attendre et commencer à se retourner chercher la bouteille quand s’arrêtant elle lança


Y commence quand l’m’sieur à raconter ?


--Alcibiade a écrit:
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Le nuage de fumée qui l'englobait commençait à se dissoudre pendant que la mine d'Alcibiade faisait dans l' incrédulité. Pour la première fois de sa vie, pas une seul personne n'avait franchie le seuil de l'auberge afin de venir l'écouter.

Il est vrai que les temps était difficile pour tous, il est vrai également, que certains dansaient, mais était ce donc là, les seuls habitants de ce village ? Aurait il donc passé les portes d'un de ces endroits désert ? Les villageois ne voulaient ils donc point se distraire ? Étaient ils donc déjà au courant de ce qui se passait dans le Nord du pays, à son Est comme à son Ouest ? Qu'évitaient ils donc, pour ainsi ne pas sortir de leur manse ?

Quel lourd secret portait ce village pour accueillir ainsi des voyageurs ? Qu'essayaient ils de cacher ?
Leur misère ? Elle était présente partout dans ce Royaume ..
Leur peine, leur sueur ? Elle était la même pour tous..

Alcibiade ne comprenait pas. Il ne comprenait plus ce monde en fait. Déjà, à l'automne dernier, avant que l'hiver si rude ne les pousse, sa mie et lui, à se retrancher dans une ville pour attendre le printemps, oui, déjà à cette époque, rares étaient les personnes qui osaient se montrer. Cependant qu'aujourd'hui, de rare, ils devenaient inexistants, préféraient s'enterrer vivant dans leur chaumière, et ne penser qu'à leur seul petit tracas, sans s'inquiéter le moins du monde de leur propres voisins..

Un soupir se fit entendre, vraiment il ne comprenait plus ce qui se passait dans ce Royaume où les guerres perpétuelles les catastrophes, tout autant que les maladies devraient bien au contraire les souder, et les inciter à se réunir auprès d'un feu de cheminée, et d'une bonne chopine afin de se réconforter mutuellement.

Dubitatif, il se leva pour venir s'assoir aux côtés de sa mie, quand une gamine s'approcha d'un pas décidé et demanda : à quand les histoires. Alcibiade debout non loin d'elle à présent lui répondit à son tour .


Pas d'histoire ce jour, ni demain d'ailleurs, nous allons partir. Puisque personne n'entre, à quoi bon raconter ?

Lui, qui d'ordinaire ne cessait de sourire, montrait à présent une mine bien triste, car pour la première fois de sa vie, il songea que de conter, il devrait arrêter.

Apportes moi une chope, tu veux ? S'il te plait... Ensuite nous partirons.

puis, enfin, il vint s'assoir a coté de la Nounou, la mine sombre des gens attristés.


--La_Nounou a écrit:
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Elle s'étrangle, et la p'tiote rigole à en perdre haleine... Pourtant la Nounou n'y voit vraiment rien de drôle. Malgré tout elle la laisse rire, de toute façon elle ne peut rien faire d'autre, étant donné qu'elle peut déjà à peine respirer. Enfin elle lui propose de s'assoir, lui remémore une seconde fois qu'elle doit lui montrer où se trouve la chambre - ce qu'elle fait cette fois ci, dans les moindres détails- puis s'affaire à lui donner un nom qui en soit un véritable. Mais alors....

Pour être surprise , la Nounou le fut, et voici que devant la colère d'une gamine haute comme trois pommes, Nounou se retrouve le cul par terre d'étonnement où à présent, seule une touffe de cheveux restait visible à hauteur de la table.

Bin v'la t'y pas mieux ! Une mioche qui m' désarçonne ?!! Et quoiqu'elle me raconte avec ses vaches ??

Y donneraient don' des noms à tous leurs bestiaux par z'ici , et rin pour les marmots ??
Vrai ! Sont plus qu'étranges quand même ! J'voulions rin d'aut' que faire la causette moua ! Margu'rite, c'est comme que ça qu'elle s'appelait la tavernière de Montbéliard !

Et P'tiote.. P'tiote.. ! Comme qu'si c'était un nom, ça ?!

J'voiyons bin dans vingt ans, toute édentée qu'elle s'ra, l'appeler encor' p'tiote , tiens ?!! Elle s'ras belle la p'tiote ! Tsss


pensa t-elle rageusement, en remettant sa main gauche sur la table, histoire de se hisser à la verticale. La voici maintenant qui appuie fermement sur la table, quand ses yeux arrivent juste à niveau de sa main et qu'elle voit son Alci revenir vers elle en baragouinant à la P'tiote - puisqu'il faut l'appeler ainsi- , qu'il ne racontera pas d'histoire...

Ni une, ni deux, elle en retombe sur son séant une seconde fois !

Pas d'histoire ? Lui, ne pas faire, ce pourquoi il se délecte ??
Vrai, ce village devait mettre les sens à l'a r'tourne de tout l' monde !

Tant bien que mal enfin, Alci put voir apparaitre deux yeux, un nez et une bouche, puis le corps disloqué de la Nounou reprendre place sur sa chaise.
La bouche en cul de poule allant de surprise en surprise, devant la tête de son n'amoureux. L'était pas joli à voir, pour sur ! Elle passa alors son bras sous le sien, lui susurra quelques paroles à l'oreille, vit un timide sourire sur ses lèvres, attrapa sa chope et en but une gorgée avant de lui dire :


T'es sur, tu voulions qu'on s'en aille d'ici ? J't'avions bin dit qu'y z'était étrange d'jà la bas, tout ceux qui dansions...

Attente d'une réponse de sa part qui ne tarde pas à venir

Oui, nous partirons après nos chopes, inutile de rester ici, c'est tout juste si les chats se montrent, alors les habitants...

Soupir, moue perceptible avant qu'il n'enchaine :


Ma Mie, je crois bien que c'est la mort de mon travail. Il aura fallu attendre ce printemps pour que je m'y raisonne..

Nounou lui serra un peu plus le bras, lui murmura à l'oreille des " choses" que la bienséance ne me permet pas ici de répéter, mais que certains esprits, je n'en doute pas, sauront trouver, à propos d'histoires qu'elle lui conterait , le soir dans une chambrée..

Finalement, Nounou repris sa chope toute sourire, en but une seconde gorgée en regardant son n'Alci par dessus le godet, le regard très malicieux.
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